- pet d'âne
- pet d'âne [pɛdɑn] n. m.ÉTYM. 1812; pédane, 1778; de pet, et âne.❖♦ Régional. Plante voisine du chardon, à fleurs rouges ou blanches (n. sc. : onopordon). || Des pets d'âne.
Encyclopédie Universelle. 2012.
Encyclopédie Universelle. 2012.
pet-d'âne — ● pet d âne, pets d âne nom masculin Autre nom de l onoporde … Encyclopédie Universelle
âne — [ an ] n. m. • asne Xe ; lat. asinus 1 ♦ Mammifère sauvage ou domestique (équidés), plus petit que le cheval, à grosse tête et longues oreilles, à robe généralement grise. ⇒ ânesse, ânon, baudet, bourricot, bourrique, vx 1. grison; et aussi… … Encyclopédie Universelle
pet — (pè) s. m. 1° Vent qui sort par en bas avec bruit (on évite de se servir de ce mot). Faire un pet. Lâcher un pet. On tirerait plutôt un pet d un âne mort qu un sou de sa bourse, se dit d un avare dont on ne peut rien obtenir. Faire un pet … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
pet — [ pɛ ] n. m. • v. 1260; lat. peditum I ♦ Fam. Gaz intestinal qui s échappe de l anus avec bruit. ⇒ flatuosité, vent; prout. Pet sans bruit. ⇒ vesse. Lâcher, faire un pet. ⇒ péter. Pet foireux, entraînant des excréments. ♢ Loc. fam. Avoir… … Encyclopédie Universelle
pets-d'âne — ● pet d âne, pets d âne nom masculin Autre nom de l onoporde … Encyclopédie Universelle
On tirerait plutôt un pet d'un âne mort — ● On tirerait plutôt un pet d un âne mort se dit pour critiquer un avare … Encyclopédie Universelle
Debat la pet, qu'y l'asé — Traduction: Sous la peau, il y a l âne … Proverbes Gascons
onopordon — ● onopordon nom masculin ou onoporde nom féminin (grec onos, âne, et pordôn, qui pète) Herbe (composée) coriace, aux feuilles décurrentes et généralement épineuses, aux fleurs tubuleuses réunies en gros capitules terminaux, solitaires. ●… … Encyclopédie Universelle
onoporde — (o no por d ) s. m. Genre de la famille des composées. ÉTYMOLOGIE Terme dérivé de deux mots grecs signifiant âne et péter, comme si l on disait pet d âne … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
Holy Willie's Prayer — is a poem by Robert Burns. It was written in 1785 and first printed anonymously in an eight page pamphlet in 1799.It is considered the greatest of all Burns satirical poems, and one of the best ever satires by any poet.… … Wikipedia